04/12/2009

Greenpeace power now


En partant du constat qu' il y a le feu à la baraque (remix), la guérilla pacifique de Greenpeace France en faveur "d'actes" forts pour le sommet de Copenhague marque des points à l'audimat avec la prise du toit de l'Assemblée Nationale,


puis avec une descente en rappel dans l'hémicycle d'une jolie blonde qui fera sans doute date dans les annales de la Ve république.

Le message est fort et le symbole puissant, à l'heure d'un Climategate où comment la sphère scientifique internationale est entrée en ébullition, ce qui est un comble lorsque le rififi concerne le réchauffement climatique.

Il est cependant possible en son âme et conscience d'aller faire du bruit pour Copenhague demain, samedi 5 décembre en rejoignant le Greenpeace Flash-mob près de chez vous muni de l'objet sonore de votre choix sans oublier de checker le dress code couleur.

Et dans la série "On ne va tout de même pas empêcher l'Humanité de profiter des trésors des entrailles de la terre-mère " , il y a dimanche soir à la télé, Petropolis, un documentaire sur les sables bitumineux, que je ne savais même pas que ça existait. L'extraction de cet "or noir tendance" ravage la forêt boréale canadienne, avec concision et acharnement.

Ainsi se termine ce billet "spécial pouvoir à la paix verte maintenant" pour lequel je ne reçois aucuns dons sous quelques formes que ce soit.

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